Ce matin-là, Carla s’est sentie comme une femme et une pute, beaucoup plus que d’habitude. Sans raison, juste le caprice du jour.
Elle a donc pris un string, l’a mis à l’envers, à l’avant, à l’arrière, et l’a beaucoup tiré vers le haut, de sorte que la sangle rugueuse est allée au milieu des lèvres de la chatte, pour finir directement contre le clitoris. Et il avait choisi le string avec la toile de dentelle la plus large et la plus rugueuse qu’il avait.
Elle avait un clitoris qui aimait les manières fortes, les palais fermes, même les serrages un peu méchants. Tout comme ses tétons.
Carla était une femme qui aimait être mise au lit avec brutalité et vigueur, presque torturée par les mains fortes d’un homme déterminé.
Ce matin-là, elle a donc voulu se donner un peu d’aventure, une stimulation forte et permanente, qui l’aurait fait perdre la tête pendant qu’elle se promenait sans but en ville.
Mais non contente, elle a également choisi une jupe très courte et une veste à large décolleté qui mettait directement en valeur son soutien-gorge très léger, sans chemise ni chemisier. Salope se sentait ce matin-là et Salope voulait apparaître à tout le monde. Entre l’extrémité du bas choisi et le bord inférieur de la jupe, quelques cm de peau nue sont restés à découvert, un véritable spectacle capable d’éveiller même les hormones d’un mourant. Elle avec ce corps encore si tonique et statuesque à son âge.
Pour “s’échauffer”, elle a choisi de descendre les escaliers et là, elle a déjà réalisé qu’elle avait peut-être exagéré. Les sangles de son pagne la rendaient folle, elle essuyait avec force ses parties les plus sensibles et à chaque pas elle passait comme du papier de verre sur son clitoris.
Quand elle a pris la route, elle était déjà trempée. Et puis elle était pratiquement avec sa chatte dehors, puisque devant elle, elle n’avait pas de tissu pour la protéger et la petite était bien rentrée.
Cette sensation physique de nudité, associée à l’excitation de la stimulation, l’a amenée à avoir des pensées étranges.
“Et si une bande de gars me remarquait et me violait ?” Elle se sentait nue et vulnérable, avec une jupe très courte qui pouvait à tout moment révéler comment elle était combinée entre ses jambes, elle attirait les regards lascifs de tous les hommes et les regards méchants et hostiles de toutes les femmes.
Cette histoire sur les gars qui découvrent son secret, l’entourent, l’emmènent dans une ruelle isolée, se moquent d’elle, lui disent que c’est une salope de se balader comme ça, ça rend Carla plus excitée qu’elle ne pourrait l’imaginer. Cette fois-ci, pas pour la stimulation physique, mais pour la pensée perverse qui lui est venue à l’esprit.
Et si cela s’était produit ? Et si ces porcs avaient mis leurs mains entre ses jambes et avaient commencé à tirer et à déplacer cette longe qui torturait son clitoris ? Aurait-elle été capable de résister ? Ne pouvait-elle pas montrer son excitation par des gémissements et des gémissements ? Et le fait de céder ne la ferait-il pas se sentir encore plus salope ? Esclave de ses lucubrations perverses ?
Mon Dieu, que lui arrivait-il ? Elle marchait et elle était aussi excitée qu’elle ne l’avait rarement été dans sa vie. Elle sentait sa chatte en feu comme si elle était constamment masturbée avec vigueur, et sa tête vagabondait librement vers des fantasmes sombres et interdits, jamais aussi excessifs.
Elle avait atteint le sommet de l’endurance, elle n’en pouvait plus, elle devait donner libre cours à son immense excitation. Elle est entrée dans le premier bar qu’elle a trouvé, s’est renseignée sur la salle de bains et s’y est précipitée pour se faire plaisir de ses propres mains. Il voulait se masturber et s’amuser, il ne pensait pratiquement qu’à atteindre un orgasme et à calmer les esprits.
Il est arrivé en quelques instants, le doigt appuyant fortement sur le clitoris par-dessus la sangle, faisant ainsi ressentir encore plus sa rugosité et ses sensations de violence. Et elle imaginait que ce qui lui faisait plaisir était la main d’un de ces types, elle la tenait fermement par les autres, avec une main qui lui explorait la chatte par derrière, sans même voir en face qui était le propriétaire de la main. Elle s’imaginait qu’elle prenait du plaisir grâce à cette main violente, qui à la fin avait même soudainement pénétré avec 3 doigts à l’intérieur. Elle imaginait sa honte de ne pas pouvoir cacher son orgasme aux garçons, comme ils l’auraient jugée.
Et l’orgasme l’a atteinte seule, fort, fort, si fort qu’elle a plié les jambes.
Elle a mis du temps à s’en remettre et, une fois qu’elle a retrouvé sa lucidité, je pense qu’elle aurait enlevé sa culotte pour rentrer chez elle.
Sinon, aurait-elle trouvé un autre bar disponible pour ses envies perverses de la journée, qui n’auraient pas disparu sur le chemin du retour ?